Un vent froids s’était installé dans la pièce entrant et sortant par une fenêtre ouverte, soulevant la chevelure étrangement rose d’une jeune fille assise sur une chaise les mains dans le dos, maintenue par des chaines.
On aurait dit que la fille était endormie dans un sommeil profond, presque appétant, son corps se soulevant aux rythmes de ça respiration.
Mais en regardant de plus prés, on pouvait voir qu’un filet de sang coulait de la racine de ces cheveux jusqu'à ça joue, le liquide rouge brillait à la lumière des torches enflammées encastré dans les murs.
Un silence de cathédrale avait envahi la pièce interrompu quelques fois par les gouttelettes d’eau qui tombaient du plafond humide.
La tranquillité inquiétante de la pièce fut stoppée lorsque l’unique porte qui donnait dans le lieu s’ouvrit dans un grincement tellement insupportable, que les yeux qui était resté clos de la fillette jusqu’à maintenant s’ouvrir, non sans difficulté.
-La belle au bois dormant se réveille enfin.
Un homme d’une trentaine d’année venait d’entré, installé sur une chaise roulante, il regardait avec une fausse moue le visage déjà meurtrie de la fille, qui n’avait pas encore reprit tout ses esprits. Dans ses yeux étrangement rouge et sans pupille on pouvait voir le reflet des flammes qui crépitaient, et sur ça peau pale il y était marquée des années de torture.
-Alors mademoiselle Haruno, il n’est plus l’heure de dormir.
Il sortir des gants noir de sa poche, qu’il enfila doucement puis avec un large sourire, il frappa violemment la joue de la ninja, se qui eut l’effet escompté, car Sakura pris la parole, d’une voix enrouée.
-Qui…Comment avez-vous…ou suis-je ?
Elle avait tellement de questions qui lui traversaient l’esprit qu’elle ne savait pas laquelle choisir, el se débâtit avec force, faisant cliqueter ses chaines.
-Oh ma princesse, qui suis-je ? Même si je te le disais, tu ne pourrais le divulguer, comment es tu arrivé ici ? Tu as été tout simplement Kidnappé par mes sbires, et je pense ne pas me tromper en disant que lorsque tu parleras de ce lieux, si je ne t’ai pas arraché la langue avant, tu l’appelleras ENFER !!!
Il avait crié le dernier mot avant de rire comme un dément, faisant rouler ça chaise autour de Sakura.